Tant va le Temps… Tant va le Cul… 010 – Un train de rêves… Voulez-vous rêver avec moi ? par Verdon

Tant va le Temps… Tant va le Cul… 010 – Un train de rêves… Voulez-vous rêver avec moi ? par Verdon

C’est non sans un certain charme, vous verrez, que je traverse souvent la France dans un de ces fameux trains de nuit de l’époque, qui vont de Paris à Marseille.

C’est bientôt le départ. Ça s’agite sur les quais. Des gamins courent partout. Un marchand vend encore ses derniers journaux. Il y a des porteurs, des vendeurs de friandises et sur un banc public deux amoureux s’embrassent sans se soucier des gens qui passent chargés de valises et pressés de trouver leur place. Des familles entières s’engouffrent dans les wagons du train qui s’apprête à démarrer dans un vrombissement de ferrailles et de vapeur, sous un nuage de fumée lâché par une énorme locomotive qui lentement prend son souffle.

Ça parle, ça crie, ça s’agite dans une ambiance à la fois fébrile et joyeuse. On est au mois d’août, aussi fait-il bon de s’évader dans la douce quiétude de cette soirée. J’accorde beaucoup d’intérêt et de curiosité à ces voyages pour profiter d’agréables distractions, non sans être comme toujours à l’affût, bien entendu de quelques petites péripéties amoureuses. D’ailleurs, je suis un peu remonté contre la Gertrude qui n’a pas voulu ce matin que je la baise au réveil. C’est un manque de politesse évident. Où a-t-on vu une dame se refuser ainsi sans bonne raison alors que j’avais la verge qui faisait le cirque Pinder dessous les draps ! Et puis un petit coup dans le cul comme ça aux aurores ça ne donne pas mal à la tête… vous ne croyez pas ?… Bon toujours est-il que je m’en vais les couillons pleins ! Remarquez qu’après tout ce n’est pas plus mal, car quand ça gigote entre les jambes, ces trucs-là et bien ça vous bouscule vachement la libido… et moi j’aime ça !

Justement deux Dames veulent monter dans un wagon. Les quais sont bas et pour y accéder il faut escalader trois marches. En galant homme, bien entendu, je m’empresse de leur proposer mes services.

– Mesdames…je peux vous aider ?

Eh bien non, elles se débrouillent. La plus jeune monte en premier et l’autre, la mère sans doute, assez plantureuse et emberlificotée dans une robe vaporeuse et légèrement translucide, pousse sa valise devant elle. Elle grimpe avec difficulté en propulsant à la hauteur de mes yeux et sous une apparence assez décontractée, son encombrant postérieur à la courbure un tantinet factieuse.

Ça y est, (je vous avais prévenu…) voilà une vue qui m’interpelle, je me sens à l’étroit dans mon falzar et j’ai les doigts qui me démangent car vicieux comme je suis (vous me connaissez), j’ai la main indélicate qui se permet de s’aventurer dans le foisonnement de cet outrancier et profond paysage…

Waouh !…Oh la salope !… la baffe que je me reçois ! Que c’est grandiose ! Vlan…

– Saligaud’ ! qu’elle me dit…

Avec raison sûrement. Vous allez me dire que la correction est bien méritée. Ça ne se fait pas une chose pareille… (Oh, ce n’était pas méchant… juste pour l’aider… j’ai toujours eu le cœur sur la main…C’est mon gros défaut ! Mais quand même !…ça débute mal mon affaire !).

J’en suis tout confus et honteux.

– Je suis désolé. ‘C’est par inadvertance !’ que j’ose lui dire, (oh le faux-cul !).


(Et puis qu’est-ce qu’elle a l’autre conasse là-bas, à rigoler comme une poule pondeuse ! Ce n’est pas une main qu’elle va se recevoir sur le cul, la caqueteuse vu la façon dont son mari lui bourre le postérieur pour la faire grimper dans le wagon d’à côté… Alors qu’elle s’occupe de ses fesses!).

Moi, évidemment je fais le profil bas. Mais c’est que autant j’ai la main impatiente quelquefois, autant je regrette (un peu), ce geste, quand la Dame n’apprécie pas, bien entendu. Mais la vivacité de ces pimbêches est loin de me déplaire. J’admire leur fierté. Malgré leur insidieuse déconvenue, elles défendent leur cul bien plus que des idées et ma foi c’est leur droit absolu et ça ne les empêche pas d’en profiter par ailleurs (enfin…certaines !) et puis elles ne sont pas forcément destinées à ce prendre dans le ‘petit chose’ tout index qui ne leur convient pas.

Alors tant pis pour moi… (Mais c’est vrai qu’elle avait la raie tentante, la dondon… et puis dans de telles situations, moi j’ai mon horloge qui s’affole… J’ai l’aiguille qui pointe à midi et le balancier qui s’égare aussi vous savez qu’… Bon on arrête, ça suffit comme ça ! Vous ne croyez pas ?).

Quand j’entre dans le compartiment…elles sont derrière moi les deux femelles… merde ça tombe mal ! Quoique…

Ma vénérable victime dépose sa lourde valise dans le porte-bagages, juste au-dessus de ma tête, et comme je suis assis, je me prends son gros ventre juste au bout de mon paf !

Après le côté pile, j’ai donc droit au paysage assez pittoresque de la proéminence désinvolte et plutôt agressive de son abdomen. Je hume en cet environnement, un soupçon assez prégnant de senteurs hormonales pigmentées par quelques autres effluves émoustillants, de sueur et de pisse. Singulières manifestations qu’il m’est, en d’autres occasions, agréable de renifler auprès de ce genre de femmes matures et assez turbulentes. Je suis dans tous mes états, figurez-vous !

Loin d’être gêné par ces chaudes émanations qui me taquinent les narines, je m’abandonne un court instant au plaisir de savourer un si délectable et enivrant parfum. Vu les efforts qu’elle fait pour mettre en place ses bagages, j’en suis à espérer que sa robe (hélas bien trop longue à cette époque) puisse s’entrouvrir et me fasse profiter davantage de ses senteurs, si non de ses charmes qui doivent valoir certainement le détour. Vous savez bien, moi les dames en chair… (Décidemment ça suffit…)

Elle s’assoit en face de moi, les jambes écartées en une position assez décontractée, vulgaire diraient certains fâcheux, mais plutôt sensuelle à mes yeux, si non béatement provoquante. Apparemment sûre d’elle, elle est satisfaite de la situation et n’a pas l’air de m’en vouloir au sujet de l’incident précédent. Elle me fait même un petit sourire de vengeance, après m’avoir gratifié si ‘inconsciemment’ des débordements excessifs de son chatoyant moule à polichinelle.

La jeune personne d’une vingtaine d’années qui l’accompagne, a au doigt un anneau qui pourrait bien être une bague de fiançailles. Elle s’est calée sagement sur la banquette tout contre sa mère et côtoie un gros homme d’une quarantaine d’années. Pas de cheveux, mais grosse barbe et redingote de marchand de bestiaux, il raconte des histoires graveleuses à son collègue assis en face de lui. Un boulanger, sans doute, vu sa veste et sa toque blanche posée sur ses genoux. Ses histoires font rougir la demoiselle qui s’en amuse tout en serrant ses cuisses qu’elle croise d’une façon lascive tout en laissant deviner ses genoux.

Les amoureux de tout à l’heure rejoignent leur place dans notre compartiment au moment du départ. Lui assez banal, légèrement dadais, la suit main dans la main et s’assoit à mes côtés. Elle est jolie sa chérie, genre pète-sec, la trentaine environ, une robe longue à frou-frous, des cheveux noirs en chignon et une poitrine débordante enserrée sévèrement dans son corset. Elle porte de mignonnes sandalettes à lanières marron qui mettent en valeur de for jolis petons.

Par les fenêtres, bientôt la campagne et les champs de verdure s’ébranlent et de petites lumières qui brillent dans la pénombre défilent à toute allure à travers les vitres de la fenêtre. Une dernière image avant la nuit totale : des chevaux qui font la course avec le train et plus loin, des vaches ! Oui de belles vaches avec des pis énormes et le cul crasseux… (Des images qui dopent ma libido toujours à l’affût évidemment, de quelques cheminements vicieux et grotesques dont la bonne Gertrude fait, dans mon cerveau, virtuellement les frais…c’est la faute à son mutin de trou du cul !…Na !).

La nuit qui maintenant est tombée au milieu de tout ce brouhaha et la fatigue ou le bercement du wagon finissent par avoir raison de mon attention et malgré le bruit, les cris dans le couloir ou les coups de sifflet de la loco, je m’endors comme chaque passager qui somnole ou rêvasse dans son coin. Je tombe dans les bras de Morphée et j’oublie tout le monde.

Oh que c’est bon de se laisser couler lentement dans ce moment d’abandon et d’insouciance, ballotté et entraîné dans un univers qui m’arrache à mon rituel habituel et me rassure au point de me laisser divaguer sur les sommets houleux de mon imagination sensuelle et voluptueuse..

Tchou-tchou-tchou… ça roule.

Il est gonflé quand même le jeune à mon côté, de poser sa main sur ma cuisse, comme si c’était celle de sa copine. Il se trompe ? Mais ce ne sont pas des façons !

– Voyons, Monsieur, ça ne se fait pas ! On n’a jamais couché ensemble que je sache ? Et si j’en faisais autant à ta gonzesse, petit touche à tout ?

Boff ! Il n’entend rien, il continue ! Il fouine dans ma braguette l’impoli… il s’empare de ma pine !

– Mais Jeune homme c’est à moi tout ça ! ce sont mes roustons que vous tripotez-là

Il ne fait de mal à personne après tout sauf du bien à moi-même, mais c’est qu’en plus, il a la main douce le fouinard ! Il se saisit de l’extrémité de mon pénis, décalotte le gland et fait remonter lentement le prépuce.

– Oui c’est bon comme ça, humm oui, va s’y, tu t’y connais dirait-on ! Elle dit rien ta copine ? Tu m’as l’air de naviguer à la vapeur, toi mon ami ! Putain je bande ! viens vite je vais t’enculer mon salaud… viens ! oui d’abord avec deux doigts, hum comme ça ! Tu…. (Le train nous bouscule, Ce n’est pas son trou du cul qui s’ouvre, non c’est mon œil mais je vous rassure, je le referme aussitôt préférant sans doute me replonger dans l’ambiance précédente…) Je dors déjà…mais je bande.

– Oui petit vicieux viens te faire enfiler…

C’est qu’il a un beau cul l’amoureux ! Ah mais il n’est plus là …il est en train de se faire sucer par les deux ‘lourdingues’ ! ça alors ! et moi ? Ils se défoulent les vieux car ils s’échangent la bonne queue et les jolies roupettes du jeune homme. Il y en a un qui bande sérieusement et je crois bien qu’il va se l’enculer à ma place, le jeune. (Putain ! Ces vieux se régalent à sucer la jeune queue !).

Du coup moi c’est son amoureuse que je baise. Oui elle veut bien que je la baise. On est au bar. Elle s’est couchée sur le ventre, complétement à poil en travers de la banque et un coup dans la chatte, un coup dans le cul je l’enfile tout raide tandis qu’elle suce le beau serveur noir qui fait des yeux tous blancs tant il aime ça !… il faut dire que la belle queue noire dans les joues roses de la suceuse, c’est d’un contraste saisissant autant que percutant vu les bons coups de semonce qu’il lui fout le brave avant de la gratifier d’une copieuse crème antillaise fabrication maison.. Pendant ce temps son amoureux se fait assaisonner le tiroir-caisse par le patron qui lui pisse au cul ! (Ah queue de bonnes manières ! Gertrude elle adore que je lui pisse au cul…elle écarte bien ses fesses et je lui décape la rondelle…ensuite à mon tour je lui lèche le trou du cul…c’est divin !).

Pour en revenir à notre amoureux, il va se faire démolir la rosette… mais patatras… le voilà les quatre fers en l’air car la table sur laquelle il se faisait joliment outrager, a cédé. Effrayée elle pousse un cri sa chérie… et s’agite tellement, que ma pine déconne.

Je me réveille brusquement… Que se passe-t-il, où suis-je ?

Eh bien rien ! Tout est calme. C’est un mouvement du wagon qui m’a réveillé. Je touche ma pine, elle est bien raide mais sèche. Je suis fada, ce n’est pas possible ! Je rêve ? Pourtant je bande vraiment !… Merde j’ai loupé la suite !

Les amoureux sont toujours serrés. La mère de famille ronfle, les cuisses toujours aussi ouvertes (Oh la belle échancrure !), et les lumières défilent toujours à travers les vitres. Il y a des sonneries comme des crécelles qui surgissent tout à coup, pour s’estomper aussitôt dans le brouhaha des rails et du vent qui ballotte le wagon. Donc rien d’anormal… (Ce putain de train m’a secoué et a interrompu mes bonnes fantaisies !).

Je me recale confortablement sur mon siège et ça repart …Tchou-tchou…

Elle dort la chérie à sa maman. Ce qu’elle est mignonne ! C’est à me faire rêver bêtement ! C’est ce que je fais en me rendormant… et toujours la bite en émotion.

Elle s’est déshabillée la jeunette ! Les seins en l’air et la chatte à la fenêtre ! Eh bien en voilà une sacrée biquette… quelle jolie craquette ! Elle est lisse, ouverte, on dirait qu’elle appelle au secours… il lui manque sûrement la parole et beaucoup d’amour… son fiancé n’est pas là…Tu viens avec moi ma chérie !

Eh bien non, la salope elle est dans les bras du boulanger, encore celui-là !… et il y va à la manœuvre… question de miches, il s’y connaît le saligaud, il l’a bien raide sa baguette ! Il ne va pas m’en laisser un morceau…On pourrait faire un sandwich ! Ça me donne faim ! Oh mais que fait-elle ?

À genoux elle est en train de le sucer l’animal ! Devant sa mère qui l’aide à prendre en bouche le bel objet. Elle n’en a pas trop connu jusque-là de si beaux boute-joie (ne voilà-t-il pas une bonne préparation à son prochain mariage !). Oh mais que se passe-t-il ? Il est trop gros le machin long… Elle en a plein le gosier la novice… Catastrophe ! Elle s’étouffe, la gourmande…

(Rebelote, c’est encore ce putain de train qui en s’arrêtant brusquement bouscule mes rêves… pourtant tout le monde est toujours calme, même la maman qui dort, sa fille recroquevillée sur son épaule… mais alors tout à l’heure ?… Oh là, là… il y a quelque chose qui tourne pas rond… J’ai trop bu de bière ! je commence à avoir mal au crâne).

Je bande…

L’arrêt dure, tout est calme. Je m’assoupis de nouveau…

Tiens v’là le contrôleur qui passe à poil dans le couloir…Bonté divine, il entre dans notre compartiment… il a la quéquette en étendard, mais il est fou celui-là, il débloque… il va se faire sucer par la maman le cochon pendant que sa gourmande de fille lui tient les couilles (c’est l’entraide familiale…ça marche bien dans cette famille !). Et puis la queue bien droite il se tourne vers moi et me secoue.

– Ah non, pas moi !

Je fais un bond effrayé sur mon siège je me tape le crâne contre le porte-bagages. Aye ! D’où il sort celui-là ? Qu’est-ce qu’il me veut ?

– Contrôle des billets, Monsieur s’il vous plaît !
– Mon billet ? Qui, quoi, comment ? Ah mon billet, d’accord… pourquoi… on est arrivé ? Je sens que ça va mal, il me regarde d’un drôle d’air le bonhomme et les autres aussi. J’ai dû dire une connerie… Je ne suis plus dans mon rêve…
– Non, on est encore loin. Je vous ai réveillé, excusez-moi monsieur. Vous pouvez vous reposer maintenant, je ne viendrai plus vous ennuyer. Faites de beaux rêves, Monsieur.
– Ben oui, merci ! Je vais en faire des rêves ! Si tu savais que je t’ai vu forniquer avec la grognasse en face de moi … tu serais moi affable monsieur le contrôleur !

Pourtant il me semble qu’il avait une belle bite l’employé et même de gros roustons, le cochon ! Putain elle en bavait la mémère, tant il lui a rempli le gosier le contrôleur ! En voilà donc un beau métier !

Je me recale aussitôt sur mon siège en me faisant tout petit car j’ai l’impression que tout le monde me regarde et lit dans mes rêves. Même la mère de famille avec ses cuisses écartée comme si elle allait accoucher. N’empêche qu’elle m’excite cette bonne dame, elle a soulevé ses jupes sur ses genoux, sans doute pour aérer son clapet à marmots… et moi ça me fait bander.

Bien je repars dans le sommeil et ma bite qui durcit, fait sa place entre mes jambes…humm c’est bon ! Je repense à Gertrude, à son gros joufflu et à ce fameux petit trou dont elle m’a privé ce matin… je suis sur un petit nuage et je bande.

Elle a raison la mature d’en face, il faut se l’aérer la boîte à bijoux. C’est gentil de nous la montrer, joliment fendue et barbue comme le menton du monsieur d’à côté.

Oh oui la jolie fente, la belle chatte ! Le superbe estuaire avec plein de foin tout autour…le genre de boîte à ouvrage dans laquelle il fait bon s’engouffrer ! Je suis sûr qu’elle doit bien aimer se faire ouvrager elle aussi.

Allez vient ma ronde on va s’aimer…Tu aimes ça coquine. Tu n’as plus de mari ? Tu l’as quitté ? Mais qu’est-ce qu’il t’a fait le salaud ?… il s’est trompé de trou le nigaud ! Oh ce n’est pas grave. Tu sais la nuit on ne voit pas très clair… alors ça peut glisser, ça arrive parfois…mais tu as aimé avoue-le, hein ! C’est comme une envie de chier à l’envers. C’est bon n’est-ce pas ! Ça vous décongestionne le colon en même temps que le cerveau, ce truc-là !

– Viens, on va s’arranger on est plusieurs mâles ici. Ça pourrait te faire du bien… c’est bon par les deux trous… ça te plairait plusieurs hommes à la fois ? Aller, tu as le cul qui s’y prête. Et la bouche ! Oui une bonne bite en bouche… tu fais ça si bien…

Elle ne dit pas non la mégère. Elle est déjà sur un banc public dans la salle d’attente. Assise sur les genoux du boulanger qui lui met sa grosse bite dans le trou du cul…Aye !

– Aye ! Oui elle a dit aye … et même qu’après elle a dit : ‘Oh que c’est bon’… la vicieuse…

Les cuisses ouvertes elle est superbe la gourmande et finalement il l’avait bien préparé son mari ! Alors ‘Aye’ c’est un peu pour la forme mais putain quand ça entre elle ne se refuse pas la vieille ! Oh quelle est bonne la bite du boulanger !

Ce gros nœud qui la travaille est sublime ! Il faut dire qu’il a un bon outil son pourfendeur. C’est le genre d’outil qu’il faut entretenir et ça il sait faire le boulanger. Toutes les nuits il se paye les bonnes miches qui sortent du pétrin. C’est qu’elle est bonne la pâte, bien chaude et moelleuse comme le cul de sa femme qui pendant ce temps se fait sauter par ses amants. (Il compense le cocu, il compense avec la bonne pâte ! Même que toutes les ménagères lui disent au petit matin qu’elles ont bon goût ses miches !).

En tous cas, notre gonzesse se laisse faire. Si tout le monde la regarde elle ne fait pas attention, elle jouit. Ça les excite tous ces mecs qui vont ce soir engrosser leur nana ou leur petit copain, va savoir ! C’est tellement beau une femme aussi bien disposée! Regardez-moi ça, toutes ces jalouses qui l’admirent en se grattant la foufoune … et l’autre, là-bas qui se fait sauter par deux mecs en même temps ! La salope !… !

Putain on est bien ici … c’est le bordel, la grande partouze !… Je crois qu’avec le boulanger on va se la faire en double notre gourmande… elle veut bien, alors je lui ouvre les cuisses et…

Et bien c’est la dégringolade. Une fois de plus ce con de train freine brusquement juste au meilleur moment quand on allait l’épouser à deux la gonzesse. Deux bites à la manœuvre et couilles contre couilles… le rêve pour une bonne cochonne et deux bons salopards !

Je me réveille donc avec la mémère sur les genoux ! Elle a été projetée contre moi par le violent coup de frein du train. Ben alors si je m’attendais à ça !

Bon, je me la baise ou bien je la remets en place ?

Attendez…je rêve ou bien c’est la réalité ?…

Mais non je ne rêve pas et comme je vous l’ai dit, je suis un gentleman, aussi j’aide ma grosse sauterelle à reprendre sa place. Elle se morfond en excuses.

– De rien, je vous en prie madame …C’est à cause du train ! mais si vous saviez !…
– Ah bon qu’est-ce qu’il y a à savoir…
– Non rien, rien madame… j’étais dans mes rêves… excusez-moi…

On ne va pas se faire des salamalecs pendant des heures. J’avoue quand l’aidant à se rasseoir je lui ai tripoté un peu les hanches. (Je suis un cochon je ne sais pas me tenir. Certes juste un peu sur ses poignées d’amour, ce n’est pas méchant)… Peut-être n’a-t-elle rien ressenti, en tout cas elle n’a rien dit et qui ne dit rien… Assise face à moi, je ne peux pas m’empêcher de l’examiner en détail. Si c’est elle dont j’ai rêvé, elle doit avoir un de ces culs à faire cocu tous les hommes de la terre ! (Vous savez bien j’aime la bonne chair, et si c’était possible je passerais bien une nuit entière moi sur son postérieur).

Elle n’a pas l’air du même avis. Non mais de quoi j’ai l’air moi !…alors je me rendors.

Et ça repart…Tchou-tchou-tchou…

Lyon, Lyon…dix minutes d’arrêt…

Madame et sa fille sont arrivées à destination, elles descendent.

Je donne un coup d’œil à la mère qui pousse sa fille devant elle. Elle s’est un peu rabibochée en tirant sa robe. Elle marche en relevant bien son cul. Sa robe restée coincée dans la ceinture laisse entrevoir la naissance de ses cuisses. La vue ne m’est pas désagréable. Ne l’a-t-elle pas fait exprès ? Va savoir ! En tout cas ça me permet d’exciter un peu plus mes neurones, mais hélas nous ne sommes pas partis dans la même direction.

C’est long dix minutes d’arrêt, surtout quand elles se prolongent. Dans le compartiment il ne reste que les deux jeunes amoureux et moi-même. Tout le monde est descendu. J’éteins la lumière.

A noter que si moi je trouve que c’est long, il y en a deux à côté de moi que ça ne gêne pas. Au contraire, d’après les petits gémissements qui parviennent à mes oreilles, je sens qu’ils se font des ‘choses’ entre eux et ce n’est pas une bévue de mon imagination cette fois-ci, c’est du réel. (C’est que ces petits cris de femmes en chaleur, ça vous torture un mec, vous savez bien !) Je vais baisser prudemment les velums sur les vitres donnant dans le couloir et je coince le loquet de la porte.

Profitant de la semi-obscurité, calés tous les deux dans l’angle de la banquette ils se font de coquines caresses les deux charmants jeunes gens…

Faisant semblant de rien je me fais tout petit mais j’observe d’un œil fébrile. La fille, la robe relevée ras du cul, s’est tant rapprochée de son amoureux, qu’aucun doute n’est possible, il la baise, le chéri ! Oh oui il la baise en essayant de faire redescendre la robe pour camoufler leurs ébats.. .mais c’est inutile, discrètement je me régale de voir son joli petit cul sautiller sur la bite du jeune homme.
Bon sang, à ne pas en douter, il lui fourre un doigt au cul. Oh oui dans le trou du cul et elle a l’air d’apprécier sa gonzesse, même qu’elle pousse de nouveau des petits cris…

Il ressort son doigt et il le suce le cochon, je crois qu’il va l’enculer sa Belle…eh bien non elle refuse le doigt, c’est au con qu’elle préfère, alors ça y est, il se la baise comme un dieu le brave homme.

Oh ça n’a pas duré longtemps… quelques petits va et vient et puis c’est l’explosion. Hélas la crainte de voir arriver d’autres passagers a raccourci leurs amours…mais quel bonheur pour moi ! Elle a pris son pied la chérie, le doigt n’y était pas pour rien ! (J’y aurais bien mis le mien !).

Ça y est, elle se rabiboche la fille. Elle se lève, remets sa robe en place, se tourne vers moi avec ce sourire merveilleux d’une femme satisfaite et du coup j’ose lui demander :

– C’était bon ?
-Oh oui ! Qu’elle me dit en glissant sa langue sur ses lèvres et puis elle saute se cacher dans les bras de son homme, confuse et heureuse de son toupet.

Le train qui a repris sa route fille maintenant vers Valence. Tchou-tchou…

Je ne dors pas mais je rêvasse, je mets ma main dans mon pantalon dont j’ai desserré la ceinture et je me branle lentement. Flap-flap-flap…(non là ce n’est pas le bruit de la loco, c’est ma bite que je branle…) Hic !

La petite dame s’est endormie dans son coin laissant son amant de côté qui du coup, intrigué par ma main qui va et vient dans mon falzar, me lance des œillades assez significatives pour me faire comprendre qu’il n’est pas tout à fait insensible à la gymnastique que je fais.

Le train s’est vidé. C’est le calme plat. Je n’ai plus envie de dormir. J’en profite pour élargir mon froc et le laisser descendre sur mes genoux…c’est un appel d’air et même d’autre chose. J’ai le cœur qui bat la chamade. Je descends mon froc et j’ai maintenant ma bite bien raide et insolente qui brille dans la pénombre… va-t-il venir ? Je sens qu’il hésite le coquin, mais il se rapproche doucement.

On joue au chat et à la souris…je crois bien qu’il va faire la souris !

Pour l’exciter un peu plus, je tends bien ma pine en l’air et entre le pouce et l’index je me branle lentement le fourreau. Je sens qu’il mord à l’hameçon le petit con, il s’approche, il jette un œil inquiet vers sa chérie… et puis zut ça le tente beaucoup trop !

Ça y est, il s’assied à côté de moi. Je bande terriblement. Il pose sa main sur ma bite. Puis il se penche et embouche mon boute-joie comme un docker qui gobe une saucisse.

– Putain c’est bon ! oh que tu suces bien !
– Chutt…qu’il me dit… en me montrant sa copine qui dort. Va s’y doucement il ne faut pas la réveiller…

Et il reprend sa fellation en me triturant les couilles …Oh que c’est bon !

Il se lève, me présente son cul qu’il a dénudé, se courbe et se penche sur moi en présentant sa rosette au bout de ma queue. Il ne fait pas très clair mais en tâtonnant je finis par trouver l’étroit passage et y glisser mon index insolent. C’est serré aussi je le retire pour le sucer un peu et l’enfiler de nouveau avec succès. Ça lui plaît au cochon, je sens son œillet qui se resserre, il geint un peu puis se redresse pour se représenter et guider ma pine vers son anus. Ça ne passe pas. Alors j’y mets deux doigts qui pénètrent bien à fond. Je lui élargis la pastille, en les ressortant je les renifle, j’aime l’odeur de son cul.

Aussi je lui dis ‘tiens suce-les… Ce n’est pas du bouc, c’est plutôt du chevreau.’

Je ne sais pas s’il a fait la grimace, en tout cas il les suce mes deux doigts que je lui remets au cul pour bien élargir sa rondelle. Je lui travaille le trou qui s’ouvre volontiers. Ça lui donne du ressort au couillon car il saute sur moi et s’encule d’un coup ! Ça fait mal à ma pine, il me retrousse le fourreau ras mes roustons. Oh le con !…mais c’est bon !

Oh oui c’est bon ! Il m’écrase les couilles et je l’encule jusqu’au cou le salaud…Putain qu’il est chaud du cul ! C’est lui qui me bourre. Mes mains sous ses fesses je le retiens quand il s’enfonce, ça fait du bien quand il remonte. Et il y va tant à la manœuvre que bientôt j’éjacule un bon jus soulageant aussitôt ma pine qui s’épanche dans son intestin.

Alors bien sûr ça fait : ‘Floc…floc…floc… (Ben oui tout bon maître enculeur reconnaît bien là, le cri d’un trou du cul qui se prend une pine…floc-floc-floc et quelques prouts…).

Il crie le fou, il jouit du cul comme une gonzesse en faisant des bonds qui finissent par libérer mon pénis tandis qu’il se rassied sur mes cuisses.

Je souffle, lui aussi. Je le caresse le long de ses hanches…

– T’es un bon gars que je lui dis… en lui flattant la croupe…
– Oui tu me l’as bien mise…merci ! Tu l’as bien grosse, tu m’as bien rempli le cul.

Que c’est bon ce moment de détente après une bonne sodo ! La chaleur de ce corps qui repose sur mes cuisses, sentir que c’est un mec que je viens d’enculer et que je tiens par ses hanches, ça change d’avec une nana, on dit que c’est contre nature et bien demandez-lui au gars si elle ne lui a pas plu ma ‘nature’ !

Continuant à promener mes mains le long de son dos, il se trémousse et soudain sur ses épaules, je croise d’autres mains. Des mains plus fines, plus chaudes…

Je lève les yeux et stupéfait je découvre sa chérie qui lui fait face, serrée contre ses seins tout en l’embrassant. En fait, je ne l’avais pas vue, mais elle était là, à genoux, quand il a joui et il lui a juté sur la poitrine.

Elle redresse un peu la tête. Pose son visage sur son épaule. On croise nos regards. Elle a les yeux brillants mais ne dit rien. Elle est resplendissante, amusée, fière, et pleine d’insolence libidineuse, elle me tend ses lèvres et me délivre un de ces baisers à me faire rebander… elle est chouette la môme avec ses nibars perlés du jus de son homme !

Le train va s’arrêter en gare de Valence, on reprend nos places, personne ne monte et le voyage continue vers Arles. Ils se remettent dans leur coin et je m’allonge de tout mon long sur la banquette en face d’eux.

Alors c’est un nouveau moment de folie. Tchou-tchou-tchou…

Je somnole, je rêve je ne sais plus trop à quoi. Je vois des bites, des chattes, des culs, des gens qui copulent dans tous les sens et dans tous les trous. J’en vois qui pissent, qui se lèchent la bite ou le trou de balle. On est je ne sais où, à Paris, à la plage ou sur la Canebière ! Je divague, j’ai la fièvre, je recherche l’apaisement en me masturbant, Flap-flap-flap….

Mi- éveillé je jette un coup d’œil vers eux pour m’apercevoir qu’ils délirent eux aussi. Elle continue à se faire chouchouter par son mec qui la tire tellement vers lui que sa robe relevée laisse réapparaître son fameux petit cul éclairé déjà par les premières lueurs de l’aurore.

Mais c’est qu’ils sont en train de me rendre fou ces deux-là. Je me lève pour aller les rejoindre mais il me fait signe que non, il se la fait tout seul le salaud ! Je retombe lourdement sur ma couchette pour entamer un sommeil profond enfoncé jusqu’au cou dans un univers sensuel et voluptueux.
……
Des heures passent mais je ne les vois pas passer, pas plus que je ne vois passer la ville d’Arles…le jour s’est levé, le train qui sent bientôt le bercail glisse en ronronnant sur ses rails.

Je nage toujours dans une espèce d’atmosphère euphorique quand soudain je suis violemment importuné par une nana apparemment excitée et furieuse, vu la façon dont elle me bouscule….

– Monsieur, eh bien monsieur réveillez-vous, monsieur il se fait tard. Vous êtes arrivés. Qu’est-ce que vous foutez-là ?
– Ben quoi ? Que se passe-t-il ? où suis-je…Ah c’est vous ! Et où ils sont les autres ?
– Qu’est-ce que ça veut dire :‘les autres’ ? et ‘c’est- vous ? Je ne vous connais pas moi ! Allez ouste ! Vous êtes à Saint Charles, Monsieur, descendez et laissez-moi faire le ménage !

Putain, les autres ont dû descendre à Arles et là je me retrouve presqu’à poil, devant une employée de la gare. Elle porte un grand chiffon à la martiniquaise autour de son chignon et un balai à la main, elle me menace la conasse…..

– Ah bon ! On est à Marseille ! Excusez-moi, je suis crevé, laissez-moi dormir, je …je descendrai plus tard.
– Mais ça ne va pas ! Qu’est-ce que vous foutez-là avec le froc sur les genoux et l’air pommé ? ce n’est pas une tenue Monsieur. Qu’avez-vous fait cette nuit ? Renfilez votre froc et barrez-vous au plus tôt ! Cochon !

Oh tout de suite des mots doux ! Mais elle n’est pas commode la pimbêche… Je me soulève…Mais c’est qu’elle a de belles jambes ma furie…

Ça y est je suis debout, je titube…peut-être un peu volontairement, tout en me serrant contre elle car le passage est étroit.

Aussi elle s’efface entre les banquettes pour me laisser passer. Mais ce faisant elle me présente un postérieur, oh oui un postérieur élégant et si tentant que je lui mets…eh bien oui vous le savez ce que je vais lui mettre…. la main au cul bien entendu, mais juste un peu vous savez, à peine un doigt qui d’ailleurs à travers sa blouse de travail et sa culotte…n’a pas dû lui faire beaucoup de bien à ma chichiteuse ! (la pauvre !)

Oh nom de dieu…la claque !…Oh la putain de baffe ! Elle n’y a pas été de main morte ma massacreuse ! Et elle veut remettre ça. Aussi je la saisie par les poignées pour l’arrêter et on se fait face…

Je sens de suite qu’à travers sa colère elle regrette déjà son geste. Je desserre mon étreinte, elle se rapproche de moi, toute fondante, elle colle son ventre contre mon bassin si fortement que je sens le doux creux de son anatomie courtiser la grosse bandaison qu’elle a provoquée entre mes jambes, la salope.

Je la serre contre moi. De l’échancrure de sa blouse légère s’échappe le doux arôme de ses gros seins et le fumet de ses aisselles.

Alors comme elle me tend sa bouche, je lui fourre un de ces patins à nous faire tous les deux, perdre la raison…

Mais elle se reprend. Elle se dégage, m’entraîne vers la sortie et me dit :

– Tire-toi et va finir tes rêves ailleurs ! Moi j’ai du boulot !

Eh bien c’est ce que je fais… (figurez-vous que le boulot…on aurait pu le faire ensemble…Non ?)

En la quittant je me permets de lui passer la main sous la blouse. La Cochonne n’a pas de culotte sur son petit cul, je manque y tomber dedans….Mais….

Ah ces Nanas … de sacrées bonnes femmes tout de même !
.
Le soleil brille, les sirènes des bateaux bourdonnent dans le port, les bus klaxonnent et les mouettes poussent leurs cris stridents, elles n’ont pas l’ ‘accent’ elles…Mais toutes ses nanas qui partent au boulot en dégoisant comme une tribu de pies oh qu’elles sont belles qu’elles sont charmantes … combien sont-elles à s’être faites sautées cette nuit ? il y en a des souriantes, des plus tristes, romantiques, des mal aguichées qui ont dû sauter du lit, la bite du mari encore dans le cul ! J’en vois aussi des pomponnées, bien comme il faut, l’œil déjà en chasse et le sein qui revendique !

Putain et moi qu’est-ce que je fais !….

Eh bien moi je descends les grands escaliers de la gare, en sifflotant. Ensuite je longe les boulevards et tout au bout à droite (pour les anciens, connaisseurs,) : la rue Thubaneau…

Dans un de ces hôtels, maintenant nostalgiques, aux hôtesses si accueillantes, j’ai pris l’habitude au retour de Paris, de me faire un petit en-cas matinal…

Ben Oui, la Mariette, je la connais bien celle-là. C’est la première à savoir de bonne heure redresser les chichis encore endormis. Je trouve qu’à l’aube elle a la foufoune bien fraîche! Et en plus, je lui fais son premier petit trou de la journée. Et oui c’est moi qui fais l’ouverture, les autres qui suivront vont le trouver bien dégrossi.

Il est charmant son œillet rond. Il est beau, tout rose et pas récalcitrant celui-là. J’aime, en lui écartant les fesses, poser mon gland sur l’étroit pertuis et pousser doucement, juste un peu histoire de le voir s’ouvrir et puis je me retire.

Elle miaule la chipie, elle en veut plus, alors elle tend son fessier vers moi. Ça la chatouille et ça décuple ses envies. Puis je reviens, je pousse, elle se cabre, s’accroche aux draps et hop ! Je vois ma queue qui s’enfile dans sa rondelle en boudinant ses muqueuses. Ça y est, elle est contente, elle est enculée comme une grande, ras mes burnes. C’est-y pas bon ça ! La journée commence bien…

La mère Mac’miche qui tient à entretenir le petit capital de ses gourmandes, a la délicatesse de m’apporter toujours une noix de beurre pour lui graisser la boutonnière. Mais savez-vous, elle ne fait pas ça pour rien, car à peine la demoiselle bien satisfaite, elle me présente son cul la vieille pour se faire gâter à son tour. Elle aime bien les sodos matinales. Et puis si côté face c’est un peu les ruines du château d’If, côté cul c’est plutôt le porche de la Major alors j’y entre ma pine entière et mes couillons ras sa pétoire.

Et c’est pompeux, je vous le dit, d’autant qu’elle crie comme les grandes orgues et que Mariette qui se défoule, me troue le cul d’un doigt expert.

– Un bon coup au cul le matin, ça me met en train pour toute la journée, qu’elle me dit la maquerelle…en s’essuyant le sien.

(Que voulez-vous… on a ses habitudes… avec un gros baiser c’est sûr, et quelques dollars en plus… ah ces femmes ! je vous le disais…).

Décidément quel boulot !…
Elle n’est pas belle la vie !
alors, si vous déprimez….prenez le train !
Tchou-tchou-tchou…..

(12.11.2022)

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2 réponses à Tant va le Temps… Tant va le Cul… 010 – Un train de rêves… Voulez-vous rêver avec moi ? par Verdon

  1. Harivel dit :

    Bonne année Verdon
    Continue de nous enchanter et à nous faire bander avec tes belles histoires à ne pas mettre entre toutes les mains

    • Verdon dit :

      Merci Harivel et bonne Année à toi aussi. Je suis enchanté de savoir qu’entre tes mains mes histoires te fassent bander. C’est sympa, et merci pour ce compliment

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